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« LE CHÊNE ET SES HABITANTS » : AUPRÈS DE MON ARBRE JE VIVAIS HEUREUX !

un film de Laurent Charbonnier et Michel Seydoux

sorti le 23 février 2022

L’HISTOIRE

Il était une fois l’histoire d’un chêne, vieux de 210 ans, devenu un pilier en son royaume. Ce film d’aventure spectaculaire rassemble un casting hors du commun : écureuils, balanins, geais, fourmis, mulots… Tout ce petit monde vibrant, vrombissant et merveilleux, scelle sa destinée autour de cet arbre majestueux qui les accueille, les nourrit, les protège de ses racines jusqu’à sa cime.

Une ode poétique à la vie où la nature est seule à s’exprimer.

L’AVIS

Tout est dit dans le synopsis. Nous sommes les spectateurs ébahis devant tant de richesse, de beauté, de vie, qui existent seulement autour d’un arbre. Juste des images incroyablement belles, des sons fantastiques, une musique originale comme sait les écrire le talentueux Cyrille Aufort. Pas besoin de parole pour polluer cette nature qu’il faut regarder en silence avec beaucoup d’humilité et sur grand écran. Les réalisateurs s’expriment : « Considéré comme le roi des arbres, le chêne symbolise la puissance et la pérennité : il est l’arbre le plus grand et le plus majestueux de nos forêts de l’hémisphère nord. Pour beaucoup, il est synonyme d’espoir en la vie pour les générations futures. ». Filmé aux cours des saisons, Le Chêne, est le lieu où l’intrigue de plusieurs êtres s’écrit.  Dans cette monade végétale, tout le monde a son rôle à jouer.

Chacun a son espace au sein de cet arbre. Nous sommes témoins, assis confortablement dans nos sièges, à regarder tout ce qui peut se passer dans cet espace restreint, les dangers et les petits bonheurs quotidiens d’un monde que l’on ne sait pas voir. Une pluie, un coup de vent, la neige, peuvent être de terribles tsunamis, comment pouvoir vivre, se reproduire, avec tout ce qui nous entoure. On se demande comment les cadreurs ont pu être présents pour nous faire vivre des suspens dignes des films de Hitchcock ! Tout n’est que beauté sauvage et pour paraphraser Brassens auprès de ce Chêne on vit heureux ! À voir et revoir cette symphonie d’images et de sons ! Mention spéciale pour la chanson de fin Et tu restes composée et interprétée par Tim Dup

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